Le 7 avril 1985, ma mère était hospitalisée. Les infirmières autour d’elle lui ont forcément inspiré ce poème de gratitude… qu’elles n’ont sûrement jamais vu. Ou bien elle pensait à ma nièce Sharon, qui était déjà infirmière à ce moment-là.
Presque toutes les petites filles
Rêvent d’un prince charmant,
Mais quelques-unes très gentilles
Rêvent tout différemment.
Elles voudraient se voir vêtues
De bleu, de rose ou de blanc,
Et aller dans un coin perdu
Soigner les petits enfants.
Puis la petite fille grandit
Le rêve devient réalité,
Mademoiselle étudie
Pour soulager l’humanité.
Garde-malade ou infirmière
Elle rencontre la souffrance,
Elle est toujours la première
À nous apporter l’espérance.
L’infirmière apprend ensuite,
Le nom des médicaments
Qui soulagent et guérissent vite,
Pour le bonheur des patients.
Écoutons ses bons conseils,
Sans elle, partout dans la vie
Tout ne serait pas pareil,
Pour ça, on la remercie!
Un bel hommage aux infirmières et Dieu sait qu’elles le méritent. Ce sont des saintes. Mon mari est très malade et nous fréquentons les hôpitaux régulièrement. Je peux vous dire qu’elles ont des conditions de travail très difficiles. Elles n’ont pas droit à l’erreur et elles n’ont pas souvent le temps de s’arrêter pour manger. Sans parler des heures supplémentaires qu’elles doivent souvent faire…