Carnets de voyage : Portugal – 3 au 17 septembre 2005

Première partie : du 3 au 5 septembre.

3 septembre — Jean-François, Manon, Éloïse et Jacob nous conduisent au terminus d’autobus d’Ottawa où, à l’heure pile, un autobus Voyageur au service d’Air France, nous amène à l’aéroport Pierre-Elliott Trudeau de Montréal. Le vol d’Air France quitte à l’heure prévue de 20 h 5 et nous amène à Paris. Nous nous étions pourtant promis de ne plus retourner en Europe autrement qu’en première classe. Nos sièges sont serrés l’un contre l’autre. Vol plutôt désagréable.
– À l’aéroport Charles-de-Gaulle, nous devons trouver notre chemin entre le terminal 2F où nous étions débarqués et le terminal 2D d’où décollait le vol vers Lisbonne. Longue attente interminable et désagréable de cinq heures. La fatigue extrême n’aide pas la cause. Nous sommes déjà le lendemain.

4 septembre — À 13 h 05, comme prévu, nous nous envolons vers le Portugal où nous arrivons à 14 h 40, heure du Portugal. Nous n’avons toujours pas dormi.
– L’hôtel Eden d’Estoril est bien, quoique la vue « vue sur terre » soit décevante. La « terre » est loin. Il aurait fallu écrire « Vue sur buildings voisins et balcons des autres vues sur terre ».
– Nous soupons au restaurant de l’hôtel (très bon poisson corb aux câpres), arrosé d’un Vinho Verde, que nous nous découvrions. Un vin très sec d’une couleur verte très pâle au goût d’agrumes et… pétillant. Servi dans une flûte. À acheter au retour à Embrun. Nous retournons à la chambre à 21 h 15, heure du Portugal. Nous n’avons pas dormi depuis plus de 33 heures.

5 septembre — La fatigue se fait toujours sentir. Le cadran sonne à 7 h 10, nous nous réveillons à 8 h 20. Nous avons presque manqué le petit-déjeuner. Ce matin, nous découvrons les alentours de l’hôtel. Nous apercevons un petit restaurant où nous irons souper en soirée. Après cette petite découverte des environs, nous marchons 15 minutes jusqu’au « village » voisin de Cascais pour y faire quelques emplettes.
– Nous nous arrêtons au magasin Jumbo (l’icône est un éléphant) qui ne semble rien de l’extérieur. À l’intérieur, c’est gros à n’en plus finir… deux Costco si pas plus, au moins trois Loblaws. De tout, de l’écran de télé géant aux fruits et légumes, en passant par les jouets, les vêtements, les fournitures scolaires, le Porto Vintage à 98 euros et le Mateus grosse bouteille à 5,36 euros (1 euro = 1,56 $CDN).
– En après-midi, relaxation totale à la piscine de l’hôtel et découverte de la bière portugaise, très bonne (goûté la SuperBock et la Sergales). En soirée, retour au petit restaurant dont nous devrons obtenir le nom plus tard. Ouvert il y a à peine deux mois. Service super sympathique. Très bon.
– Retour à l’hôtel et envoi de messages Internet au Caffe Internet de l’hôtel (4 euros par 15 minutes).

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3 réflexions sur “Carnets de voyage : Portugal – 3 au 17 septembre 2005

    • N’oublie pas que mes carnets ont été rédigés à la fin de chaque jour et je les reproduis sans les modifier (sauf pour protéger certains noms, mais c’est rare). En rétrospective de ce voyage, Louise et moi retournerions au même endroit… connaissant mieux l’endroit et le coin. Après deux semaines, nous nous sentions chez nous… ou presque. Dans deux restos que nous avions fréquentés à quelques reprises, nous étions traités quasiment comme des gens de la place.

      • C’est vrai que ça prend quelques jours, avant de commencer à pouvoir apprécier un endroit, surtout lorsque ça fait 33 heures qu’on a pas dormis ! J’aimerais bien visiter le Portugal un jour…

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